Mosnac en Charente-Maritime
Et au milieu, coule une rivière…
Située entre Pons et Jonzac, à 30 mn de la mer et à 1h de Bordeaux et d’Angoulême, Mosnac appartient à la Communauté de Communes de Haute Saintonge, sans doute l’un des territoires les plus préservés et authentiques de la région. Le village est traversé par la Seugne sur 7 km, ce qui en fait un lieu prisé des pêcheurs mais pas que ! La richesse de la faune et de la flore en font également un lieu privilégié pour les amoureux de la nature.
Mosnac Charente Maritime

Que visiter
Deux lieux patrimoniaux que vous pouvez aller visiter à pied depuis la Demeure du Grand Moulin. L'église Saint Saturnin, à coté de la Mairie et la chapelle Notre Dame des Champs à l'entrée du village

Que faire
A pied ou à bicyclette, Mosnac et les villages voisins vous proposent des activités sportives ou culturelles. Envie d'une balade à cheval ou en canoë ? D'aller voir un film ou une exposition ?

Où manger
Moulin du XVIe siècle pour l’un, ancienne gare pour l’autre, vous trouverez deux restaurants à forte personnalité pour vos pauses gourmandes ou gastronomiques.

Où se divertir
Aller boire un café dans un bar vintage ou danser jusqu’au bout de la nuit, Mosnac et ses environs possèdent des lieux atypiques où vous divertir sans faire trop de kilomètres !
Mosnac Charente Maritime. À partir du XIème siècle la seigneurie de Mosnac est le siège de l’ancienne famille Gartrade, qui détient aussi le chateau de Jonzac. Dès le début du XIVème siècle par des alliances successives, Mosnac et Jonzac reviennent aux Taillefer de Montausierpuis aux Sainte-Maure. Les terres appartiennent encore aux Sainte Maureà la fin du XVIIème, mais passent aux mains de la marquise de Dune au XVIIIème siècle. A la Révolution, elles appartiennent à M. Broussart de Pons. En 1841, le château est démoli et les terres vendues à des particuliers. Le village de Mosnac Charente Maritime abritait autrefois des vestiges pré-romains, dont un menhir de 4,50 mètres de haut et 2 mètres de large. Celui-ci fut renversé en 1851 par les propriétaires du champ dans lequel il reposait